Où acheter un sérum anti-venin contre les morsures de serpents asiatiques !


 

 

 

La prudence est de mise si vous comptez découvrir la jungle ou la campagne thaïlandaise, laotienne, cambodgienne, birmane ou malaysienne puisque celle-ci est peuplée de nombreuses espèces de serpents venimeuses et dangereuses. Ainsi, pour vous prémunir du danger que représentent les attaques de ces reptiles, vous devrez emmener avec vous un sérum anti-venin qui annihilera les effets du poison, et choisir pour cela, un produit digne de confiance puisqu’il sera injecté en intraveineuse par un médecin. Nous vous suggérons de choisir les sérums anti venins produits par la Croix-Rouge qui n’ont pas leur pareil niveau qualité et efficacité. Ils offrent donc les meilleures garanties médicales et sont certifiés. C’est pourquoi nous avons fait le choix de ne proposer que ces derniers sur notre boutique « Asian-Snake-Wine.com ».

Pour les 6 pays d’Asie du Sud-est cités précédemment, la Croix-Rouge produit 7 sérums anti-venins monovalents, c’est-à-dire que chacun d’entre eux traite le venin d’une seule espèce de serpent. Mais elle propose également  2 sérums anti-venins polyvalents qui s’attaquent au venin de deux grandes familles de serpents produisant soit un venin hémotoxique qui a des effets très néfastes sur le sang soit un venin neurotoxique qui agit sur le système nerveux.

 

 

Les 7 sérums anti-venins permettent de contrer efficacement le poison du cobra à monocle appelé également cobra à lunettes (naja kaouthia), du cobra royal (ophiophagus hannah), de la vipère de Malaisie appelée aussi crotale de Malaisie (calloselasma rhodostoma), du crotale des bambous (trimeresurus albolabris), du bongare fascié ou bongare annelé (bungarus fasciatus), du bongare candide (bungarus candidus) et de la vipère de Russel’s (daboia russelli siamensis).

Le premier sérum polyvalent que nous proposons à la vente et qui est distribué par la Croix-Rouge asiatique permet de neutraliser les venins hémotoxiques du crotale de Malaisie, du crotale des bambous et de la vipère de Russel’s tandis que le second contre les effets des venins neurotoxiques du cobra à monocle, du cobra royal, du bongare annelé et du bongare candide. Si la Croix-Rouge a choisi de commercialiser les sérums anti-venins de ces espèces de serpent uniquement c’est parce que ces derniers représentent le plus grand danger pour l’homme et sont à l’origine du plus grand nombre d’accidents mortels en Asie du Sud-est.

 

 

 

 

En 2014, ont été recensées environ 5 millions de morsures de serpent à travers le monde et seulement 150.000 de ces dernières ont provoqué des décès tandis que pour 400.000 autres le venin a entraîné des pathologies graves et on dénombre, parmi elles, beaucoup d’amputations. Ces cas sont concentrés surtout en Afrique, en Asie du sud et en Amérique du sud. C’est à dire, là ou cohabitent l’homme et les espèces dangereuses. Mais se sont aussi les zones qui manquent cruellement de sérums anti-venin. Ce phénomène risque de s’amplifier malheureusement puisque le groupe pharmaceutique français Sanofi Pasteur qui fournissait une grande partie des sérums anti-venins aux hôpitaux et centres médicaux en Afrique a décidé d’arrêter sa production et sa commercialisation.

 

Des organisations comme Médecins sans frontières et l’OMS (Organisation mondiale pour la santé) tirent la sonnette d’alarme. La pénurie de sérums anti-venin pourrait avoir des conséquences catastrophiques du point de vue sanitaire et entraîner des dizaines de milliers de morts et en particulier dont les régions rurales, les zones retirées qui n’auront pas accès aux anti-venins à cause de la faiblesse des stocks à l’échelle continentale.

 

Pour pallier à ce problème Sanofi Pasteur met en place un processus de transfert de technologie afin d’autres laboratoires médicaux puissent produire des anti-venins aussi fiables et sûrs mais aussi bon marché afin que les populations défavorisées ne renoncent pas à se rendre dans les hôpitaux pour se faire soigner et ne se tournent pas vers les guérisseurs ou sorciers.