Il se fait mordre 5 fois par un cobra à monocle (naja kaouthia)


 

 




Il se fait mordre 5 fois par un cobra à monocle (naja kaouthia)



Le cobra à monocle (naja kaouthia) se rencontre en Asie du Sud-est, notamment au Cambodge, au Myanmar, au Vietnam, en Thaïlande ou au Laos où il est présent en grand nombre, que ce soit dans les zones sauvages que dans les zones rurales et aux abords des grands centres urbains. C’est pourquoi il est l’un des principaux responsables d’envenimation par morsure. Son venin est très toxique et peut entraîner la mort en moins d’une heure. Les cas fatals ont malgré tout lieu sur des sujets plus fragiles comme les enfants, les adultes ayant un terrain allergique au venin, ou encore, les personnes âgées. Ce qui explique également les cas mortels, se sont les soins qui ont été beaucoup trop tardifs. Ils nécessitent l’administration, dans l’heure qui suit, d’un sérum anti-venin pour contrer les effets des toxines.




Un éleveur de cobra qui fait des représentations avec des serpents en notamment les embrassant devant un public ébahi, s’est fait mordre pour la 5ème fois par un cobra à monocle. Et contrairement à ce que l’on peut imaginer, l’homme était tout à fait calme, détendu et a pris son temps pour se rendre à l’hôpital sans qu’aucun symptôme habituellement grave et impressionnant n’apparaisse. Généralement, la morsure de cobra s’accompagne de fortes douleurs, de nécroses, d’une inflammation importante de la zone touchée, de l’apparition de ganglions, d’un larmoiement, de sueurs froides, de vertiges, d’une hyper salivation, de vomissements, de troubles nerveux, de spasmes, d’une paralysie et d’une paresthésie c’est-à-dire d’engourdissement pouvant conduire à une insuffisance respiratoire et à une hypotension et à un coma souvent fatal. Ces phénomènes sont liés à l’action d’une neurotoxine contenue dans le venin de cobra à monocle comme le venin du cobra royal très présent également dans cette partie de l’Asie.

La raison de sa sérénité et de son sentiment de sécurité ? Le fait que son organisme a fabriqué des anticorps et développé une résistance au poison qui aurait pu être fatal chez un tout autre sujet normalement constitué. C’est une réaction naturelle qui a lieu également chez les chevaux auxquels on administre du venin afin qu’ils produisent un sérum anti-venin qui sera ensuite prélevé et injecté à l’homme.



 

 

Il y a aussi le cas d’un homme considéré comme un peu farfelu qui depuis de plus d’une décennie s’administre par intraveineuse, et généralement à très faible dose, du venin neurotoxique ou du venin hemotoxique. Se sont les venins produits par la très écrasante majorité des serpents vivant sur la planète. Son but ? Faire avancer la recherche et prouver au monde médical que cette méthode simple permet de s’immuniser totalement contre les effets des venins, même les plus dangereux pour l’être humain. Et puis, selon lui, elle permet également de fabriquer des anticorps, de stimuler les défenses immunitaires pour lutter contre les allergies, les microbes, les maladies et les virus particulièrement redoutables et peut-être également pour se passer de certains vaccins qui, comme chacun sait, ne sont pas toujours sans risque pour la santé.

Cet homme sert de cobaye en s’injectant donc du venin du cobra, entres autres, pour dit-il, s’auto-immuniser et sauver de nombreuses vies tandis que des millions de chinois, de thaïlandais, de birmans, de laotiens, de vietnamiens et même de japonais consomment du vin de serpent ou plutôt du vin de cobra pour les nombreux bienfaits qu’ils procurent au niveau santé. Il s’agit d’un alcool dans lequel macère des mois le serpent qui délivre de puissants principes actifs utiles et protecteurs. Vous trouverez ces authentiques bouteilles de vin de serpent sur notre boutique « Asian-Snake-Wine » qui constituent le vrai remède miracle pour la pharmacopée asiatique. Chaque année des millions de bouteilles sont consommées dans ces pays où la longévité atteint des records.