Quel anti-venin de serpent pour Laos, Cambodge, Vietnam ou Malaisie ?
Vous projetez de vous aventurer hors des sentiers battus ou dans des zones assez isolées dépourvues d’hôpitaux dans un pays d’Asie du Sud-est comme le Laos, le Cambodge, le Vietnam, la Malaisie, le Myanmar ou la Thaïlande ? D’autre part, vous souhaitez savoir quel anti-venin prendre avec vous ?
A quelques légères différences près, ces pays abritent les mêmes espèces de serpent dont la dangerosité est connue dans le monde entier. On compte parmi celles-ci le cobra à lunettes (naja kaouthia), le cobra royal (ophiophagus hannah), le cobra cracheur indochinois (naja siamensis), le bongare annelé ou à bandes (bungarus fasciatus), le bongare rayé (bungarus multicinctus), la vipère de Russell (daboia russelii), la vipère de Malaisie (calloselasma rhodostoma), le serpent corail bleu asiatique (calliophis Bivirgatus), le serpent corail à petites tâches (calliophis maculiceps), le fer de lance asiatique appelé aussi la vipère verte ou le crotale des bambous (trimeresurus albolabris), ou encore, la vipère des temples (tropidolaemus wagleri) pour ne citer que les plus répandus et les plus dangereux.
Sachez qu’il existe une véritable pénurie de sérum anti-venin à l’échelle mondiale. Aussi, pour voyager en toute sérénité et parer à tout risque de morsure de serpent, vous devez toujours avoir avec vous cet antidote précieux. En effet, en Asie du Sud-est un tel accident peut avoir des conséquences désastreuses si des soins adaptés ne sont pas promulgués dans l’heure qui suit l’attaque. Ce poison peut provoquer par exemple une paralysie des muscles y compris du système respiratoire ou du système cardiaque, une crise de tachycardie, une hypotension ou une hémorragie interne ce qui peut devenir fatal, bien évidemment.
Avant de dégainer votre sérum anti-venin, vous devez tout d’abord allonger la victime, puis la rassurer, éviter qu’elle bouge et se fatigue et ensuite vous appellerez les secours. En attendant ces derniers, n’essayez jamais de faire un garrot, d’aspirer le venin avec votre bouche, d’approcher quelque chose de chaud près de la plaie ou de donner de l’aspirine à la victime. Et puis seulement si vous n’arrivez pas à contacter un service médical ou si ceux-ci arriveront dans un laps de temps vraiment trop important, vous pourrez alors injecter l’anti-venin. Celui-ci ne peut pas être administré à la légère car il peut provoquer certains effets indésirables notamment une réaction allergique. Bien entendu, vous devez vous assurer que le sérum à injecter correspond bien à l’espèce de serpent qui a mordu la victime. En cas de doute, vous devez vous abstenir de faire l’injection afin de ne prendre aucun risque.
En attendant un anti-venin universel, sachez qu’il existe différents types d’antidote. Ceux qui traitent les envenimations d’une espèce unique de serpent, par exemple, celle du cobra royal, ou alors, des anti-venins polyvalents qui neutralisent trois types de venins : neurotoxique, hémotoxique et cytotoxique. Chacun d’entre eux est associé à une grande famille de serpent.
Quel anti-venin pour le Laos, le Cambodge, le Vietnam ou la Malaisie ?
Les serpents produisant un venin cytotoxique sont très peu courants dans cette partie du monde, aussi, nous vous recommandons, pour des raisons pratiques et d’efficacité évidente, de ne vous équiper que de 2anti venins polyvalents ; le neurotoxique qui permet de traiter toutes les morsures infligées par 6 espèces de serpent dangereux et répandues tels que le cobra, le cobra royal, le bongare, bongare à bandes ou annelé et le bongare de Malaisie, et puis, le neurotoxique qui contre l’action du venin des serpents probablement les plus dangereux tels que la vipère de Malaisie, la vipère verte ou la vipère de Russell. Par ailleurs, il va de soi que vous devez choisir des anti-venins sûrs et fiables. Ceux que nous vous proposons sur notre boutique « Asian-Snake-Wine.com » vous offrent toutes les meilleures garanties puisqu’ils sont fabriqués par la Croix-Rouge, organisme, on ne peut plus sérieux.